Les prix élevés pratiqués en Europe pénalisent les exportateurs sur le marché chinois qui compte bien imposer ses conditions. En effet, alors que la Chine a besoin d’importer un peu plus de volumes de viandes de porc et de coproduits, seuls les origines américaines et brésiliennes semblent en bénéficier. A titre d’exemple, les ventes espagnoles ont reculé de -7% sur le 1er semestre par rapport à l’an dernier, tandis que les exportations des USA vers la Chine ont bondi de +26%, de +17% pour le Brésil et de +76% pour le Canada.